
Cantalien(nes), ici on est Cantalou !
Petit tour des clichés qui nous collent à la peau, à tort ou à raison parfois.
Entre fierté montagnarde et clins d’œil aux clichés, le Volcan Cantal révèle une identité bien plus riche qu’on ne l’imagine. Ici, on revendique haut et fort notre âme cantalou, faite de traditions, de paysages grandioses et d’une convivialité discrète mais vraie. Et si on mettait de côté les idées reçues pour redécouvrir ce territoire vibrant ?
Le bon fromage, la charcuterie, de la bonne viande, etc., c’est en effet toute la fierté du cantalou. Et la vache Salers, c’est une icône, elle fait partie du patrimoine, comme un repère dans notre paysage. Mais le Cantal, c’est aussi, de multiples producteurs, des circuits courts, un terroir revisité !
C’est souvent ce qu’on entend mais nous on adore ça, se perdre au milieu de nulle part. C’est aussi ce qui fait que le Cantal a gardé son authenticité. Le Cantal, c’est le luxe du silence, des paysages intacts et du temps retrouvé. Et puis, avec la fibre partout, le réseau ferré, les grands axes, on est surtout très bien connectés à ce qu’on aime : la nature.
C’est vrai qu’on connaît la neige et c’est l’occasion de chausser les skis ou les raquettes ! Mais le Cantal, ce n’est pas la Sibérie. L’hiver, c’est le temps des soupes qui mijotent, de se retrouver au coin du feu avec un bon plat réconfortant. L’été ? L’air est doux et parfumé par l’odeur des foins, les nuits sont fraîches, le ciel étoilé. L’automne est flamboyant et le printemps verdoyant. Alors oui, parfois le vent souffle, mais il emporte aussi les tracas. (Et les moustiques, paraît-il.)
Le cantalou, il est un peu froid au premier abord, la discrétion c’est dans sa nature, c’est presque culturel. Il observe, il jauge et il s’ouvre ensuite. Quand c’est fait, c’est pour de bon ! C’est une hospitalité simple et sincère qui se vit plus qu’elle ne se dit.
Tour des vaches rouges ®Hervé Vidal
Et alors ? On en est fiers, ce sont nos racines, l’héritage de nos grands-parents. Notre super-pouvoir c’est de nourrir la France ! L’agriculture façonne nos paysages, nos tables et notre identité.
Mais les Cantaliens d’aujourd’hui, ce sont aussi des artisans d’art, des développeurs web installés dans les monts, des brasseurs, des restaurateurs, des créateurs. Le Cantal change — sans perdre son bon sens paysan.
Ah bon ? Viens donc un jour de transhumance sur le Cézallier. Ou un jour de fête des Cornets ou de Fête de la pomme. Ou un soir de fête de village, avec bal trad et truffade jusqu’à pas d’heure. Ici, on sait s’amuser. Pas besoin de boîte de nuit : il suffit d’un peu de musique et d’une tablée de copains.
C’est vrai que nos grands-parents sont encore là, ce sont nos repères, notre lien avec ce passé qui s’enfuit. Mais à côté d’eux, une nouvelle génération reprend le flambeau : jeunes installés, néo-ruraux, artisans, familles revenues des grandes villes.
Le Cantal n’est pas un musée : c’est une terre de transmission et de renaissance.
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